Comment, concrètement, se passe le travail ? Je travaille sous forme d’entretiens d'une heure avec vous, durant laquelle je prends des notes. Cette heure est suivie pour moi du temps nécessaire à l'écriture.
Chaque heure de travail (entretien, écriture, étude de documents) est facturée 70 € TTC.
À chaque nouveau rendez-vous, j’apporte le texte rédigé à partir de l’entretien précédent. Vous pouvez ainsi, au fur et à mesure, le compléter ou le préciser.
Ce système de travail par entretiens est très souple : vous pouvez, selon vos préférences, me rencontrer une ou deux fois par semaine ou par mois, mais aussi suspendre un temps, si besoin, nos séances de travail.
Il faut environ 25 séances pour un ouvrage comptant entre 120 et 150 pages (qui peuvent être enrichies d’un album où seront regroupés photos, documents…)
Le manuscrit achevé, je le remets à un imprimeur qui peut en fabriquer 20, 50, 200 exemplaires… ou plus.
Si l’ouvrage est publié à compte d’éditeur, nous nous répartissons les droits d’auteur versés par l’éditeur (environ 7 % du prix de vente).
Mementolavie peut aussi se charger de la correction ou de la réécriture de manuscrits déjà existants (devis sur demande).
Article paru dans la revue Politis : « Dans un café, au domicile de ses clients ou chez elle, Marie-Christine Daunis noircit des pages et des pages. À la fois l'oreille et la main des gens ordinaires, elle transcrit, met en forme et construit le roman de la vie. Séance après séance, la biographe recueille les souvenirs souvent douloureux. C'est la souffrance d'un enfant orphelin, la solitude d'une femme, la violence, les tromperies, les lâchetés… Pas facile d'encaisser ces violences mises à nu, les paroles longtemps tues, des fragments de mémoire qui ressurgissent, les larmes qui parfois jaillissent.»
Article paru dans le magazine Viva : « Dur mais exaltant métier qui oblige à se glisser dans la peau de l'autre à partager ses émotions sans jamais lâcher les rênes, sans oublier par exemple que celui qui tient la plume n'est ni le confesseur qui absout, ni le juge qui condamne ou acquitte, ni le psychiatre qui guérit. Marie-Christine Daunis sait susciter la parole chez l'autre : cela se voit, cela se lit, cela se dit. |
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